Georges Trincot articles de presse
En cliquant sur chacun des 4 onglets ci-dessus vous pouvez accéder à nos pages qui présentent les oeuvres et des souvenirs de Georges Trincot.
« Georges Trincot et la critique »
Les centaines d’articles écrits sur Trincot depuis 1951 jusqu’en 2006 dans les journaux et revues d’Alsace, de Lorraine, de Bourgogne et de Paris pourraient à eux seuls faire l’objet d’un ouvrage volumineux attestant de la quasi unanimité de la critique à le considérer comme un des plus grands peintres de son temps. En clair, tous ces articles font désormais partie de son oeuvre et nous nous faisons un devoir d’en publier quelques extraits exhaustifs démontrant, s’il en est besoin, de la considération dont Trincot jouissait auprès de la presse écrite.
Certains ont été jusqu’à le qualifier de « la plus noble conquête du cheval ». On n’a pu relever que deux critiques qui ont émis des réserves quant à la qualité de son art jugeant, pour des raisons strictement personnelles, qu’ils ne pouvaient adhérer au charme irrésistible de son oeuvre.
D’évidence, c’est le critique Emile Follot qui semble avoir été, par la quantité et par la qualité de ses écrits, le journaliste en tête de peloton, qui remporte la victoire quant au meilleur témoignage journalistique sur Trincot.
Mis à part le ton léger de L.G. qui dit ne pas être « emballé » par la peinture de Trincot, la critique est unanime à applaudir ses nombreux talents.
Les articles élogieux de Follot, Picaro, Bonnard, Zislin, H.I.T., J.L.M., Edith Richaud, D.N., Louis Gerriet, René Spaeth, Gil Treo, Flotinde, Léopold Massiera, Marcel Robiochung, Trabujo, Fels, Cronimus, Gineste, Michel Saint-Alban, Yvonne Grès, Roger Kéehl, Jean-Marie Sourgeus, Henri Cliquennois, Jean Rogger, Rod, Xavier Viader, Isabelle de Méré, Gros, Gleing, Jean-Marie Hannot, Alain Vuaille, Gérard Denizot, Nathalie Bouley, Irénée Mauget, Bernard Leroux, Thierry Sznytka, Faucompré, Marcel Robinsehung, Catherine Grun, Jean-Claude Midon, Guebwiller,... Tous ces critiques sont émerveillés par la talent de Trincot qui pratique des couleurs vives, fortes, exubérantes et luxuriantes pour sublimer les chevaux, les trains et les fleurs.
Trincot aime la peinture et il adore ses tableaux. Il les chérit comme s’ils étaient ses propres enfants. On peut le voir tenant et enlaçant de nombreuses toiles comme s’il les avait non pas créées, mais procréées. Un peu comme si ses tableaux étaient ses propres enfants. On comprend mieux dès lors pourquoi il traite, encore et encore, les mêmes sujets dominants afin de donner à son oeuvre « un air de famille ».
Du train au cheval, du nu aux abstractions et des clowns aux fleurs, les tableaux de Trincot ont la même identité et le même visage tout en étant différents les uns des autres. C’est là qu’est la vérité de Trincot : changer en permanence tout en restant attaché à ses racines, à son authenticité, à son expression adéquate et à la vitalité de son discours.
Trincot a réalisé de nombreuses expositions autant en France que de par le monde. Dans sa première exposition en 1955, un article anonyme déclare : « Le regard de Trincot englobe la réalité ». Picard note : « Voilà un jeune peintre en plein épanouissement de talent ». Dans son exposition à la galerie Vauban, on lit : « Trincot est un dessinateur qui a su se libérer de la prison du trait en adhérant à la fluidité des couleurs ».
Pendant son exposition à la galerie Carlton à Cannes, Le Provençal écrit : « Trincot donne à voir une course de chevaux éblouissante ».
Il expose à la galerie Clamart aux côtés de Zavaro, Ciry, Szelpal, Bogaert, Poix et Kishka, et on dit de lui « Un peintre qui peint au galop ». Il expose à Paris, à New York, en Allemagne, en Suisse, à Tokyo, à Monaco, à Bruxelles,...
Très sollicité, il est reconnu incontestablement comme un des plus grands peintres du cheval.